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Mécanisme d'ingérence

Le Centre Européen de Sécurité et de Stratégie (CESS) analyse les nouveaux visages de l’ingérence : désinformation algorithmique, infiltrations sociales, guerre cognitive, diplomatie grise.

Le Centre Européen de Sécurité et de Stratégie (CESS) analyse les nouveaux visages de l’ingérence : désinformation algorithmique, infiltrations sociales, guerre cognitive, diplomatie grise.

État des lieux

  • Le CESS est l’un des principaux think tanks français spécialisés sur les questions d'ingérence étrangère.

  • Sa spécialité centrale est l’étude des formes contemporaines d’ingérence étrangère visant les sociétés européennes : campagnes de désinformation, guerre cognitive, opérations médiatiques coordonnées, manipulations sur les plateformes sociales, ou instrumentalisation des technologies numériques. 

  • En analysant les mécanismes invisibles de l'ingérence étrangère, le CESS éclaire les stratégies de déstabilisation qui visent les démocraties européennes  

Désinformation &

Guerre narrative

Le Centre Européen de Sécurité et de Strat�égie (CESS) analyse les nouveaux visages de l’ingérence : désinformation algorithmique, infiltrations sociales, guerre cognitive, diplomatie grise.

→ Médias sous influence, récits toxiques, manipulation des faits.

Objectif : fragmenter l'opinion publique, semer la confision.

Réseaux d’influence dans les sphères d’expertise

Le Centre Européen de Sécurité et de Stratégie (CESS) analyse les nouveaux visages de l’ingérence : désinformation algorithmique, infiltrations sociales, guerre cognitive, diplomatie grise.

→ ONG, chercheurs ou médias “indépendants” financés par des puissances étrangères.

Objectif : distiller une influence insidieuse sur les élites.

Influence algorithmique & bots

Le Centre Européen de Sécurité et de Stratégie (CESS) analyse les nouveaux visages de l’ingérence : désinformation algorithmique, infiltrations sociales, guerre cognitive, diplomatie grise.

→ Amplification de contenus, viralisations orientées, détournement des débats (TikTok, X, Telegram).

Objectif : rediriger l’attention, manipuler l’agenda médiatique.

Infiltration des mouvements sociaux

Le Centre Européen de Sécurité et de Stratégie (CESS) analyse les nouveaux visages de l’ingérence : désinformation algorithmique, infiltrations sociales, guerre cognitive, diplomatie grise.

→ Instrumentalisation des colères citoyennes, slogans et figures détournés.

Objectif : déstabiliser l’État de l’intérieur via le mécontentement.

Guerre cognitive

Le Centre Européen de Sécurité et de Stratégie (CESS) analyse les nouveaux visages de l’ingérence : désinformation algorithmique, infiltrations sociales, guerre cognitive, diplomatie grise.

→ Saturation mentale, contradictions permanentes, brouillage de l’esprit

critique.

Objectif : épuiser la démocratie sans tirer une balle.

Pressions économiques & diplomatie grise

Le Centre Européen de Sécurité et de Stratégie (CESS) analyse les nouveaux visages de l’ingérence : désinformation algorithmique, infiltrations sociales, guerre cognitive, diplomatie grise.

→ Lobbying opaque, investissements ciblés, corruption douce.

Objectif : acheter des relais d’influence durables.

Désinformation & guerre narrative

La guerre narrative constitue l’un des leviers les plus puissants de l’ingérence étrangère contemporaine. En manipulant les récits, les symboles et les émotions collectives, les acteurs hostiles tentent de fracturer les sociétés démocratiques de l’intérieur. Cela se manifeste par des campagnes de désinformation, la diffusion virale de fake news, ou encore l’instrumentalisation de faits réels réagencés pour semer la confusion.

Au cœur de cette guerre se trouvent des récits alternatifs qui remettent en cause les fondements des démocraties européennes : l’Union européenne y est présentée comme illégitime, les élites comme corrompues, et les conflits sociaux comme des révélateurs d’un effondrement moral occidental. Ces stratégies visent à miner la confiance dans les institutions, polariser les opinions et créer un climat d’instabilité permanent.

Le CESS analyse ces mécanismes narratifs avec rigueur : cartographie des récits dominants, repérage des vecteurs de propagation, identification des origines géopolitiques. L’objectif est de fournir des clés de lecture robustes pour renforcer la résilience cognitive des démocraties.

Influence algorithmique & bots

Les plateformes numériques sont devenues un champ de bataille invisible. Les algorithmes amplifient certains contenus au détriment d’autres, non pas par volonté politique, mais par une logique d’attention et de polarisation. Des puissances étrangères s’en servent pour perturber le débat démocratique européen.

 

Par le biais de bots, de fermes à clics ou de comptes automatisés, les campagnes d’ingérence s’appuient sur des outils technologiques pour fausser la perception du réel : amplification de discours radicaux, harcèlement coordonné, attaques ciblées contre des figures publiques ou des institutions, saturation des timelines.

 

Le CESS étudie ces dynamiques en croisant données techniques, analyses de contenu et veille stratégique. Il propose des recommandations concrètes pour mieux encadrer les effets de ces technologies, et protéger la souveraineté numérique européenne. L’objectif est clair : rétablir un espace public numérique loyal, équilibré et transparent.

Guerre cognitive

La guerre cognitive ne vise pas à convaincre rationnellement, mais à saturer mentalement. Elle repose sur des techniques d’ingénierie psychologique, souvent inspirées des doctrines militaires russes et chinoises. Son but : désorienter les esprits, fragmenter la mémoire collective, rendre la vérité confuse et l’engagement politique vain.

Contrairement à la propagande classique, la guerre cognitive joue sur la surcharge informationnelle, la contradiction permanente, et l’émotion brute. Elle affaiblit la capacité des sociétés à trier, hiérarchiser, ou contextualiser les informations.

 

Le CESS identifie ces stratégies et propose des outils de vigilance cognitive pour les citoyens, les journalistes et les décideurs. Mieux comprendre la guerre cognitive, c’est se donner les moyens de reconstruire une culture du discernement, fondement indispensable de la démocratie européenne.

Infiltration des mouvements sociaux

Les mouvements sociaux sont des lieux d’expression démocratique. Mais leur force émotionnelle et leur exposition médiatique en font aussi des cibles privilégiées de l’ingérence étrangère. Des acteurs externes y injectent des récits clivants, des slogans détournés, ou des fausses figures d’opinion.

 

L’objectif est double : radicaliser les revendications et décrédibiliser l’ensemble du mouvement, afin de créer un effet de rejet massif ou de chaos politique. Des outils de messagerie chiffrée aux réseaux sociaux alternatifs, l’ingérence s’adapte aux canaux d’expression militants.

 

Le CESS, fort de l’expérience directe de ses membres dans les dynamiques de contestation, analyse ces mécanismes d’infiltration. Il plaide pour un accompagnement lucide des mouvements sociaux, à la fois respectueux de leur autonomie et vigilant face aux tentatives de manipulation. Car protéger la liberté de manifester, c’est aussi la prémunir contre les formes invisibles de parasitage.

Réseaux d’influence dans les sphères d’expertise

L’ingérence ne se limite pas aux masses. Elle cible aussi les sphères d’expertise, les think tanks, les cercles académiques, les institutions scientifiques ou technologiques. Par des financements opaques, des invitations dans des forums biaisés, ou des coopérations travesties, certaines puissances étrangères tentent d’orienter subtilement les analyses et recommandations politiques.

Le risque est majeur : fausser la décision publique en influençant ceux qui éclairent le politique. Cela passe par la normalisation de certains récits, la cooptation d’experts, ou l’intégration dans des réseaux où l’origine des agendas est volontairement brouillée.

   

Le CESS cartographie ces réseaux et formule des alertes éthiques. Il défend une transparence totale dans les collaborations scientifiques et institutionnelles. Car la bataille de l’influence se joue aussi dans les bibliographies, les panels de colloques, ou les fonds de recherche.

Pressions économiques & diplomatie grise

Enfin, les pressions économiques constituent un levier silencieux mais redoutable. Investissements ciblés, rachat d’infrastructures stratégiques, lobbying d’influence, mécénat culturel orienté : autant de moyens pour influer sur les décisions souveraines des États.

   

À cela s’ajoute la diplomatie grise : canaux officiels détournés, usage de la menace implicite, corruption de décideurs ou élites locales. Ces techniques ne relèvent pas de la guerre ouverte, mais de l’attrition démocratique progressive.

   

Le CESS documente ces pratiques dans une approche interdisciplinaire croisant économie, géopolitique et droit international. Il milite pour une régulation renforcée des investissements étrangers sensibles et une meilleure coordination européenne face aux stratégies de captation d’influence.

Approche stratégique du CESS 

Le CESS adopte une approche intégrée, fondée sur trois piliers complémentaires :

Analyse et décryptage

Le Centre Européen de Sécurité et de Stratégie (CESS) analyse les nouveaux visages de l’ingérence : désinformation algorithmique, infiltrations sociales, guerre cognitive, diplomatie grise.

Rapports, baromètres et tribunes sur les formes contemporaines d’ingérence.

Plaidoyer stratégique

Le Centre Européen de Sécurité et de Stratégie (CESS) analyse les nouveaux visages de l’ingérence : désinformation algorithmique, infiltrations sociales, guerre cognitive, diplomatie grise.

Recommandations auprès des décideurs européens et nationaux.

Sensibilisation

Le Centre Européen de Sécurité et de Stratégie (CESS) analyse les nouveaux visages de l’ingérence : désinformation algorithmique, infiltrations sociales, guerre cognitive, diplomatie grise.

Partenariats avec la société civile, les médias et les universités.

L’ingérence étrangère n’est pas un phénomène isolé. Elle s’inscrit dans une stratégie globale de déstabilisation qui vise à fracturer les démocraties, affaiblir les opinions publiques, brouiller les repères médiatiques, et miner la souveraineté des États européens.

Découvrez notre sélection d’articles, tribunes et rapports stratégiques :

 

  •  Baromètre de l’ingérence étrangère (édition 2025)

  • Tribune “L’Europe ne tiendra pas si elle méprise ses colères populaires”

  • Note stratégique sur l’appel du 10 septembre

  • Rapport sur le rôle des plateformes dans la désinformation algorithmique

  • À venir : carte interactive de l’ingérence étrangère en Europe

À lire aussi — Nos analyses sur l’ingérence étrangère

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